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Parking 18. - Promenade en bateau (2) sans culottes

— Avez-vous bien mouillé à l'embarcadère ? demanda le Duc de Maisonneuve en accueillant avec bienséance la Marquise et son époux.

— C'est un réel plaisir que de vous recevoir dans notre petit paradis, renchérit la Duchesse.

Le Marquis prit la parole :

— Nous sommes passés par la Pointe des Sans-Culottes... La vue est magnifique...

— En effet, ajouta la Duchesse, on ne s'en lasse pas. La Riviera regorge de trésors, n'est-ce pas cher époux ?

Le Duc acquiesça.

 

La nuit tombée, ils s'étaient installés dans le petit salon. La villa était éclairée par la lune. Ils savouraient un Champagne de qualité. La lumière était douce. La Marquise souriait :

— Eh bien, je propose que l'on rende hommage à ce paysage si bien nommé.

Elle reposa sa coupe, se leva, glissa ses mains sous sa robe et fit tomber sa culotte à ses pieds.

La Duchesse de Maisonneuve, aussitôt fit de même et vint se placer à côté d'elle. Assises toutes deux face à leurs époux respectifs, elles se firent provocantes :

— Vous qui avez l'oeil aiguisé, que diriez-vous de nos paysages intimes ? susurra la belle Donatienne. Et elle déboutonna le haut de sa robe, laissant apparaitre ses seins dont les tétons eurent tôt fait de se dresser sous la douce langue de la Duchesse qui se prêta volontiers au jeu.

Celle-ci se montra entreprenante et dégrafa un à un les boutons restants jusqu'à découvrir le corps frémissant de la Marquise. Elle écarta les cuisses, livrant son infinie douceur aux yeux attentifs des deux hommes.

Le Marquis connaissait bien son épouse. Elle aimait être regardée. Elle aimait partager ses plaisirs.

La Duchesse était déjà à quatre pattes, entre ses jambes ouvertes. Elle tapotait la vulve ainsi exposée.

— Le paysage vous plaît-il ?... "Au milieu coule une rivière", dit-elle joueuse. Et elle versa doucement le contenu de son verre de Champagne sur le ventre dénudé.

Le précieux liquide s'écoulait sur le sexe déjà mouillé provoquant de délicieux frissons. La Duchesse s'amusait à laper les gouttes qui perlaient. Elle léchait consciencieusement chaque parcelle de cette douceur-sauvage...

La Marquise ondulait de plaisir. Ses mains caressaient ses seins, étiraient ses tétons, descendaient sur ses hanches, se glissaient sous ses fesses et venaient écarter encore plus ses cuisses, les agrippant, indécente et offerte...

— Léchez-moi partout... enfoncez vos doigts... votre langue... Explorez ma géographie...

La Duchesse tortillait son joli cul... Comme une invitation à ne pas se faire oublier...

Le Marquis se leva et s'approcha des deux félines. Il posa sa main sur les fesses dénudées et tendues vers lui, accompagna leurs mouvements de légères claques entrecoupées de caresses précises promenant ses doigts du clitoris à l'anus.

Il avait ouvert son pantalon et présenta son sexe dressé à la bouche pulpeuse. Il saisit les cheveux de la Duchesse pour la diriger vers sa queue et en faire une bouche suceuse.

Il alternait les plaisirs, inclinait la jolie tête brune tantôt sur la chatte de son épouse, tantôt sur ses bourses.

Le Duc observait la scène avec attention. Il aimait voir sa chère et tendre se livrer sans retenue.

Elle le regardait tout en suçant et léchant à tour de rôle le sexe du Marquis et celui de la Marquise.

Elle était avec lui en quelque sorte. Elle savait que cela l'excitait.

Enfin, le Duc se leva et annonça d'un ton légèrement ironique :

— Allons, allons chers dépravés, un peu de retenue morbleu, la soirée ne fait que commencer.

Il se dirigea vers la bibliothèque, déplaça un livre épais et, comme par magie, un pan de mur pivota lentement sur lui-même, ouvrant un passage sombre donnant sur un escalier de pierres perdu dans l'obscurité.

— Si vous voulez bien me suivre, commença le Duc, nous allons poursuivre nos retrouvailles au donjon.

Et il s'engouffra dans le passage secret.

 

(À suivre)

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