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Parking 16. - Promenade en bateau

Dernière mise à jour : 28 juil.

Le Marquis tenait le gouvernail. La Marquise, allongée sur le pont du yacht, seulement vêtue de lunettes noires et d'un chapeau de paille, prenait le soleil.

Le noble capitaine, en bon marin qu'il était se concentrait tant bien que mal sur la ligne médiane du bateau... Ligne imaginaire... contrairement à celle qui séparait les fesses de la belle Donatienne, étendue sur le ventre, captive du soleil.

Ligne divine.

La jolie créature se savait regardée. Elle aimait l'être et se retourna sur le dos... Jambes légèrement ouvertes, de sorte que la ligne médiane tant aimée du Marquis prit la forme de cette fente si attirante... si alléchante...

Ils étaient encore loin de la baie vers laquelle ils se dirigeaient. La Côte d'Azur ne manquait pas de lieux paradisiaques plus ou moins fréquentés...

La mer était calme mais il aurait été imprudent de quitter le gouvernail et de laisser le bateau dériver... Cela dit, il existait d'autres dérives plus sages.

Sages ?

La Marquise, toujours désirable, écarta un peu plus les cuisses et se fit lascive. Ses mains étaient des caresses qu'elle voulait provocantes.

Ses seins sous ses doigts... Ses pointes... Cette façon unique qu'elle avait d'en jouer. Les effleurant, les pressant...

Ses seins que le Marquis vénérait.

Oh la sensualité de ses mains quand elles descendent vers son sexe magnifique, s'en écartent au dernier moment, pour l'encadrer, puis se perdre sur ses cuisses, les ouvrant un peu plus...

L'huile d'amande douce qui parfumait son corps nu lui donnait un aspect lumineux... radieux. Il émanait d'elle un authentique don de soi auquel le Marquis peinait à résister. Mais, maître de ses pulsions, il serrait le gouvernail fait d'un bois aussi dur que son sexe, tout en se réjouissant du spectacle.

La main de la belle, posée à plat entre ses cuisses, recouvrait son intimité. Bercée par les vagues ses mouvements se firent circulaires. Doux d'abord, puis plus affirmés. Son corps de femme-fauve ondulait, elle était tellement sensuelle... Tellement désirable. Se montrant libre de s'offrir, elle se mit à quatre pattes, hanches relevées, tout en passant ses doigts sur sa douceur mouillée, écartant ses lèvres intimes, s'arrêtant sur son clitoris gonflé pour le chérir avec délicatesse...

Son autre main sur son cul sublime avait glissé vers son oeillet doux et montrait sa dévotion.

Elle attendait.

Immobile.

Haletante.

Prête.

-- Viendra ?... Viendra pas ?


(À suivre)

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