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Go Down Under - Episode 1.3

Il n'y a pas que le climat qui est chaud ce soir-là!!




La réponse tomba environ une heure plus tard. J’étais en train de ranger les bouteilles dans le frigo quand je sentis deux grandes mains remonter vers mes épaules et des lèvres pulpeuses se coller contre ma tempe. Je tournais la tête vers lui. Nos nez s’effleurèrent doucement dans un petit baiser papillon. Puis nos lèvres se rencontrèrent.

Depuis le temps que je rêvais de ce baiser. Un baiser à son image, tendre et passionné.

Sa bouche se décolla, s’ouvrit un peu comme s’il cherchait ses mots, puis il lança:

— Je t’aime…

Il l’avait dit dans ma langue maternelle. Sa déclaration flottait entre nous et attendait une réponse. Mon cœur manqua d’exploser de bonheur.

— Moi aussi !!

Ce fut à mon tour de l’embrasser. Avec la même sincérité que ce que j’avais dit précédemment. Nos langues ne mirent pas longtemps à se rencontrer.

Dos à lui, je sentais ses mains caresser mon ventre. Je posais les miennes sur les siennes et les fit doucement remonter pour éveiller mes deux petites pointes sous le tissu.

Je n’avais jamais fait l’amour le premier soir. Mais là, mon ventre brulait d’envie. Mon corps tout entier le réclamait.

— Tu en as vraiment envie ? On peut attendre si tu veux

— J’en ai envie... J’en rêve depuis un moment.

Il m’embrassa à nouveau.

— Je crois qu’il me reste quelques préservatifs dans mon tiroir. Vas dans ma chambre, je verrouille la maison, et je suis tout à toi.

Je partis presque en courant vers sa chambre qui était à côté de la mienne. Je me jetai sur son lit, envoyai valser mes sandales dans un coin de la pièce ainsi que mon foulard dans mes cheveux.

J’en profitais pour ouvrir son tiroir et poser un préservatif sur son oreiller. Il y a mieux pour célébrer un nouvel amour réciproque qu’une conception.

Une fois arrivé, il s’allongea à mes côtés et m’invita à me loger dans ses bras. Je m’y nichai sans me faire prier. Le visage enfoui contre lui, ma main caressant son cou jusqu’à son visage, j’appréciais ce long câlin. Le calme avant la tempête. Je remontai mon visage pour le regarder, mes yeux étaient plongés dans les siens et ses pupilles dilatées. Ses doigts agiles remontaient dans mon dos le long de la fermeture éclair de ma robe. Je devinais qu’il avait envie de l’ouvrir. Je lui donnais mon consentement en lui déboutonnant sa chemise tout doucement. Dévoilant son torse imberbe où trônait une rivière de poils au niveau de son ventre, et qui descendait sous la ceinture.

Il avait ouvert ma robe qui finit au sol avec sa chemise. J’étais désormais poitrine nue, habillée seulement de mon tanga blanc.

Il semblait apprécier la vue de mon corps allongé sur le dos.

— Tu as un très beau corps.

— Pas autant que le tien… Toi au moins on sait qu’on a affaire à un adulte

— Pourquoi tu dis ça?

—Je n’ai pas beaucoup de formes. En fait je...je complexe par mal sur mes seins. Ils sont si petits...

Il passa une main sur l’un et le palpa avec douceur. Son pouce faisait le tour de l’aréole. Des picotements commençaient à naître dans mon ventre.

— Ils sont très mignons. Je peux comprendre que tu complexes, mais il ne faut pas. Regarde comment tu pointes vite...

Je baissai mon regard et constata, en dehors du fait que mon sein disparaissait totalement sous sa grande main, que j’étais déjà toute pointue. La haute sensibilité était bien le seul avantage que je trouvais à avoir une poitrine qui ne justifiait pas le port de lingerie.

— C’est le seul avantage des petits seins.

— Amber, darling, je te trouve très belle. Tes seins sont à croquer...

Comprenant l’effet que ses caresses avaient sur mon corps, il se baissa à hauteur de mes deux petites pointes et en goba une. Je poussai un petit cri quand il la prit entre ses dents et tira légèrement dessus. Quand il me disait que j’avais une poitrine à croquer, c’était visiblement au sens propre du terme…

Je descendis ma main vers mon sous-vêtement déjà bien humide et commençais à me caresser à travers le tissu poisseux.

— Tu te caresses ? Coquine. Dit-il avec amusement

— Tu aimes la vue?

— Je peux confier un petit truc ?

— Vas y

— J’aime regarder une femme se caresser.

Il aimait mater… Et bien il allait être servi, mon amour de host-dad.

J'envoyai valdinguer mon dernier vêtement dans la pièce et commença doucement à caresser mes lèvres couvertes d’une petite toison courte et drue. Le regard qu’il eut fut indescriptible. Comme s’il voyait enfin quelque chose dont il rêvait depuis longtemps. Le voir déboucler sa ceinture et dévoiler ses jambes finement musclées produisit un violent courant électrique depuis mon vagin jusque dans ma colonne vertébrale. Je me caressai plus vite à la vue de son membre en semi-érection. J’avais envie de sentir sa chaleur contre mes lèvres, balader ma langue sur ce gland rose foncé, gober ses testicules, être enivrée de cette odeur musquée si primaire.

— Tu veux te faire venir sans moi ? Me demanda-t-il, toujours amusé

Il posa sa main sur la mienne et la fit remonter doucement jusqu’à lui. Il renifla mes doigts humides et les mit dans la bouche, sans me quitter des yeux. Je sentais sa langue aller contre mes ongles et contre la pulpe de mes doigts. Comme s’il voulait me prouver que sa langue pouvait en faire autant sur une autre partie de mon corps.

— So delicious… Dit-il en ôtant mes doigts de sa bouche.

— Je suis sûre que cette langue pourrait faire des merveilles à un autre endroit

— Tout comme la tienne… Tu as déjà fait un soixante-neuf?

J’avais peu fais cette position. La redécouvrir avec lui était inespéré.

— Oui.

— Tu as aimé?

— Oh oui. Et avec toi, je sais que je vais encore plus aimer.

— Let’s go!

Il se positionna sur le dos. Je mettais mes genoux de part et d’autre de son visage, lui offrant la vue complète de mon entre jambe. Il attendit que je sois à hauteur de son membre avant de commencer à titiller mes grandes lèvres à coup de petits baisers qui allaient vers l’aine avant de revenir vers ma rivière brûlante. De mon côté, je léchais son gland déjà couvert d’un peu de liquide séminal. Ce mélange de sueur et d’odeur musquée éveillait mes instincts primaires.

J’enfonçais son membre chaud dans ma bouche. Il gémissait contre mes nymphes qu’il écartait avec ses pouces. Sa langue dure s’enfonçait dans mon trou puis léchait mon clitoris gonflé. Je respirais fortement tout en le suçant avec amour. Une main tenait sa queue dure pendant que l’autre malaxait ses testicules. C’est qu’il était vraiment doué de sa bouche. Comme si chacun répondait aux stimulations de l’autre. J’aspirais sa queue comme il aspirait mon bouton de chair.

Ses mains lâchèrent mes lèvres pour remonter vers mes fesses qu’il massait avec ferveur. Je gémissais contre cette peau lisse qui avait déjà pris le goût de son liquide pré éjaculatoire.

— Prends moi ! Lançais-je, décidée.

— Of course!

Je roulai sur le côté pour me mettre sur le dos, les jambes écartées, totalement offerte à lui. Il déroula le préservatif sur sa queue bien dure, se mit au-dessus de moi sur son bras, l’autre guida sa queue et me pénétra doucement.

Je me raidis. Je me sentais écartée, dilatée par cette épaisseur à laquelle j’étais peu habituée. La nature l’avait gâté à ce niveau-là.

Je me sentais totalement remplie de lui, de son désir, et de son amour.

Mes jambes enlacèrent sa taille comme pour le garder au plus près de moi. Il commença à aller et venir. Son pubis frottait mon clitoris gonflé et sensible. La position était parfaite et je me sentais décoller au fur et à mesure de ses coups de reins. Une de ses mains caressait mes seins pointus et durs l’autre le tenait au-dessus de moi, ses doigts enlacés avec les miens.

Nos corps continuaient d’onduler dans une danse lascive et torride. Une danse qui nous faisait suer de plaisir. Mes gémissements étaient devenus de petits cris.

Dans l’action, je fais signe à mon amour de changer de position. Je voulais lui offrir ce plaisir qu’il n’avait pas connu depuis des années.

Je me retrouvais à califourchon sur lui, sans perdre le lien qui unissait nos corps. Je plaquais mes mains sur son torse et le chevauchais fièrement. Ses mains saisirent mes fesses pour accompagner mes mouvements. Je sentais sa queue palpiter dans mon vagin.

Je n’allais pas tarder à jouir… Je m’agrippais à son épaule d’une main, l’autre griffant son ventre et accélérait mes mouvements. Mes cheveux collaient mon visage trempé de sueur, ma bouche d’où sortaient mes cris de plaisir était sèche.

— I’m...close! criait Gill

— Me too...Come with me...Now!

Enfin… l’explosion ! Comme dans un de ces films mainstream nous avions réussi à jouir ensemble, sans aucune retenue. Dans cette petite mort, nous nous sentions vivants.

Je me laissais tomber doucement sur lui. Nos cœurs battaient à l’unisson.

Au bout de plusieurs minutes, nous retrouvions une respiration calme. Une de ses mains était posée sur mon dos, l’autre caressait doucement mes cheveux collés. Il me fit un petit baiser sur la joue que je lui rendis.

Après une douche rapide, nous étions sous le drap en train de nous câliner. Je savourais ce renouveau dans ma vie sentimentale. Cela dit, j’appréhendais la réaction de mes parents restés au pays. « Coucou, maman, coucou papa. J’ai un truc à vous dire, je suis en couple avec mon host-dad et je reste en Australie. Sinon ça va ? »

Mais bon… En même temps ça ne regarde que moi.

— Amber

— Yeah?

— Je suis heureux... Comme je ne l’avais pas été depuis un moment.

— Si tu l’es, je le suis aussi.

Petit bisou sur ses lèvres.

— Je suis davantage prêt à prendre la vie à bras le corps et à vivre. Avec toi à mes côtés.

— Oh oui. Un millier de fois oui.

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