Bien envie de l’enculer, je l’imagine me l’offrir, son petit cul enamouré. Je réoriente néanmoins mon sexe vers sa vulve et la jeune femme accueille le retour de mon membre en elle avec un grand soupir de contentement. Je pénètre facilement son vagin écarté, sa cyprine chaude et épaisse coule le long de ma verge. Pendant qu’elle fait aller et venir son bassin, je lui murmure :
– C’est une dangereuse position, tu m’offres tes seins.
Comprenant que je veux encore la mordre, elle répond d’un ton inquiet :
– Tu vas me manger toute entière avant la fin ?
– C’est très tentant, ça se pourrait bien.
Je saisis son sein gauche rond, chaud et doux. La pointe de ma langue parcourt l’aréole, j’en ressens tous les grains. Puis mes lèvres saisissent le téton, le pressent, apprécient sa transformation quand il durcit, excité, sous la pression. Je finis par mettre le sein en bouche, aussi profondément que possible jusqu’à ce qu’il rencontre mes dents qui le mordillent en guise d’avertissement. Ambre frémit à ce contact, sans ralentir son va-et-vient. Je vais d’un sein à l’autre, embrasse sa peau nue. Lorsque je retombe dans le canapé et qu’elle se baisse vers moi, toute occupée à me chevaucher, sa poitrine me couvre les yeux, les joues.
– Ça te plaît comment ça ? Tu me montes ? Tu me baises bien ?
Passif à cet instant, même si mes mains baladeuses vont de ses cuisses à son cul quand elles ne sont pas sur ses seins, j’encourage Ambre à se laisser aller à jouir, en lui parlant crûment. Le plaisir qu’elle ressent est criant. Sa respiration s’accélère. Je pose les mains sur son cul si doux, observe ma queue qui s’enfonce en elle, ce pieu nerveux sur lequel elle s’affaire. Après quelques minutes de purs délices, pendant lesquelles elle varie les rythmes et les longueurs de pénétration, jouant de ses hanches et de ses genoux, elle ralentit puis finit par déposer son front contre le mien, reprend son souffle quelques instants. Elle me demande :
– Tu peux me reprendre comme avant, j’ai envie que tu viennes dans cette position.
Alors qu’elle décolle pour extirper mon sexe du sien, je l’accompagne en aidant sa cuisse à passer au-dessus de moi. Tandis qu’elle enfonce son dos dans le canapé, je relève ses cuisses toujours écartées entre lesquelles je me glisse. Mon bassin, collé aux bas de ses fesses, lui fait offrir sa chatte à mon sexe. Je l’embroche ainsi. J’aime voir sa tête renversée, sa poitrine offerte, sa vulve trempée. Je l’encourage à s’abandonner :
– Ta chatte est belle, tu mouilles pour moi. Dis-moi que je t’excite.
– Oui, tu m’excites, tu me rends folle. Hier je n’ai pas dormi, je me touchais en pensant à toi, à ce que tu allais me faire aujourd’hui.
Pendant qu’elle parle, j’observe ma queue aller et venir entre ses petites lèvres, la blancheur des pertes qui se répandent autour de sa vulve, la rougeur des chairs en action qui luisent de la mouille qu’elle a produite. Je passe ma main autour de son sexe puis mets un doigt en bouche, découvre enfin le goût salé de son intimité. La pénétration est profonde, j’ai l’impression de pousser mon engin jusque dans son ventre. Elle encaisse mes coups de reins, grimace sous la pression, observe incrédule le plaisir que j’éprouve. Ambre ferme les yeux par instant pour s’abandonner puis revient vite à elle, comme apeurée de manquer une scène. Je me redresse de temps en temps, attrape ses fesses pour les tâter. Elle me lâche :
– J’ai envie que tu jouisses en moi, sentir que tu éjacules ta semence entre mes cuisses.
Je fais ensuite basculer sa jambe gauche à ma droite pour les refermer, ce qui provoque un resserrement de son vagin. La vue de ses cuisses en l’air, lascives, m’excite au plus haut point. Sous sa chatte que je fourre, je contemple l’entrée de son cul. Je continue de la pilonner, sens ma bite énorme aujourd’hui glisser entre ses petites lèvres serrées et creuser un sillon à travers les parois de son vagin. Ses seins remuent sous mes coups de boutoir, vision obscène. Brusquement, des contractions parcourent tout son corps, émanant de son ventre. Je les ressens car elles passent en moi par mon gland. La jeune femme m’entraîne alors dans sa jouissance. Mon plaisir est violent, irrépressible. Je suis secoué à mon tour d’un puissant orgasme, je crie :
– Ambre… Ambre… je viens dans ton ventre.
Mon sexe est planté si profond en elle que la jeune femme me regarde jouir, décontenancée, encore saoule de l’orgasme que nous venons de déclencher. Je la maintiens par les hanches, pendant que ma bite nerveuse expulse un sperme crémeux en abondance au fond de son ventre, jet après jet. Hagarde, les jambes de la jeune femme toujours soutenues par mon bras droit, je lui caresse le ventre et les seins avec adoration. Elle me prend la main et soupire encore de plaisir quand je m’abaisse vers elle pour l’embrasser. Je finis par m’extirper d’elle, et passe dans son dos, avant de m’allonger à ses côtés.
En cuillère, ma bite gluante collée à ses fesses, je l’enserre de mes bras et lui chuchote à l’oreille :
– Tout va bien ?
– Oui, très bien. Je voulais que tu viennes en moi. Ça m’a follement excité. Et toi ?
Je n’attends pas bien longtemps pour lui avouer :
– Magique. J’aurais bien envie de recommencer.
Quelques secondes passent sans qu’elle réponde. J’ai le visage enfoui dans ses cheveux fins et châtains. Par le nez et la bouche, j’aspire son odeur suave, vanillée. J’entends Ambre respirer. De derrière, collé à son dos, je ne peux pas voir son visage. Elle finit par reprendre là où nous en étions restés :
– Quand tu parles de remettre ça, tu pensais peut-être à…?
Sans se retourner, elle tâtonne dans son dos jusqu’à s’emparer de mon sexe. Ce dernier, au contact des doigts qui le saisissent, retrouve une certaine vigueur, à nouveau dur, prêt à baiser. À ma grande surprise, elle le glisse au travers de ses fesses offertes et humides, positionne le gland au niveau de son anus que mon prépuce lèche avec délice.
– Par ici tu aimerais ? J’ai envie de te sentir jouir là aussi.
En guise de réponse, je m’étends pour saisir du gel intime dans un tiroir proche du canapé. Le tube est froid, j’en réchauffe donc une noisette au creux de ma main, déposant des baisers dans le cou délicat d’Ambre en attendant, puis d’une caresse impudique l’enduis d’un doigt. Son anus rose charmant trône au creux de ses fesses blanches, invitation sublime. Après en avoir massé le pourtour, je commence à aventurer mon majeur entre le muscle puissant et glisse doucement à l’intérieur, tout en observant ses réactions. Parfaitement décontractée, elle accueille l’explorateur sans résistance. Mon doigt est bientôt glissé en entier au chaud dans son cul. Sans me lâcher du regard, Ambre me rassure :
– Tu peux me prendre par là, j’ai l’habitude.
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