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Ambre - 2.

Décoiffée, la robe baissée à mi-corps, les seins pointant, la jeune femme me fixe encore, les yeux gourmands, pétillants. La blancheur de sa peau tranche violemment avec le cuir foncé, animal, sur lequel elle est assise. J’ai maintenant le choix de comment la dévorer et j’y réfléchis alors que je desserre le bracelet en acier de ma GMT-Master 2. Mais Ambre reprend l’initiative. Elle se replie dans le canapé, enfonçant son dos dans l’assise. Ayant remonté ses jambes affolantes contre son ventre dénudé, ses fines mains saisissent sa culotte, une belle pièce en dentelle ouvragée assortie à son soutien-gorge, et dans le même mouvement l’ôte, avant de la jeter à mes pieds d’un geste provocateur. Puis la jeune femme se lève, maintenant debout face à moi, et abaissant une à une les fines bretelles de sa robe, la fait glisser au sol sans cesser de me regarder. Nue, elle se rassoit enfin, jambes écartées, affalée dans le canapé, les cuisses largement ouvertes, mains sur ses seins. Elle me fixe de ses deux yeux bleu saphir, se mordant la lèvre inférieure, sensuelle à en crever. Impossible de se méprendre sur l’invitation. Ambre annonce :


– Prends-moi direct, comme ça.


Je suis encore à moitié habillé. Je desserre donc la boucle en argent de ma ceinture puis décroche un à un les boutons chromés de mon jeans gris que je fais ensuite glisser au sol. Pour répondre à son air effronté, j’ôte bientôt mon boxer, dévoilant mon sexe en érection, long, épais, déjà raide et nervé. Ambre, sans me quitter des yeux, se touche du bout des doigts, doucement, en attendant. Face à elle, je fixe son entre-jambe obscène, la naissance de ses cuisses, où ses belles petites lèvres roses déjà gonflées m’invitent à la pénétrer.


Je m’approche, me baisse à sa hauteur, l’embrasse fort, prémisse à la possession. La belle bascule sur le côté du canapé et j’accompagne son mouvement pour me retrouver au-dessus d’elle. La jeune femme, dont tout le corps vibre déjà, me couvre de baisers, me mange les lèvres, m’embrasse dans le cou. La douceur de son ventre est incommensurable. Alors que j’ajuste mon bassin, mon sexe entre bientôt en contact avec sa vulve brûlante, déjà trempée. Ses mains résolues empoignent mes fesses, les tâtent sans pudeur pour jouir de leur dureté, de leur nervosité. Mon sexe bute contre le sien. Encore une poussée et je serai en elle. Un délice à venir, que je n’arrive plus à repousser. Soudain je sens sa main s’emparer de mon sexe, le parcourir du bout des doigts pour en apprécier la longueur. Son pouce joue avec mon prépuce, y étale la cyprine récoltée par le contact de ma queue avec sa fente inondée. La jeune femme se baisse alors davantage vers moi et chuchote à mon oreille :


– T’attends quoi ?


Empoignant à mon tour sa main de façon à ce qu’elle ne relâche pas tout de suite mon sexe, je commence à la pénétrer. Elle me dévore, m’absorbe. Mon membre nerveux, aux veines battantes, se fraie un passage entre ses chairs onctueuses. Ambre encaisse, respire fort, souffle :


– Oui comme ça, comme ça, en entier.


J’ai bientôt la moitié de ma verge en elle. Je prends mon temps, l’embrasse beaucoup, lui mords les seins. Elle s’en plaint :


– Tu me mords, t’es un vrai chien.


Sans répondre d’abord, je la mordille davantage et l’empale cette fois complètement. Elle laisse échapper une exclamation :


– Ohhhhhh Enzo…


Je murmure en retour :


– Plutôt un lion, un tigre ou un loup…


Je me baisse, mon visage est contre le sien. Je lui mords la mâchoire, le menton en la couvrant complètement. Elle est frêle sous moi. Je suis plus large, plus grand. Elle murmure :


– Comme ça, comme ça, continue…


Et je la travaille, ma longue bite plantée en elle, qui remplit, envahit son confortable vagin. Son entrecuisse est trempé, elle subit. Des gouttes de sueur perlent à son front, je les lèche pour déguster sa sudation. Elle me maintient contre elle, me serre fort, me plante ses ongles dans le dos. Je m’en fous, tout à mon effort, je ne calcule pas. Je la fourre, sa chatte largement fendue, mes bourses tapent contre le bas de ses fesses. Sa mouille suinte, charrie nos pertes qui dégoulinent jusqu’à la raie de son cul. Nous nous embrassons encore, ma langue se balade sur ses lèvres. S’enhardissant, elle me mord la joue, doucement, observe un peu anxieuse ma réaction. Je la fixe, les yeux grands ouverts. Je l’adore, elle commence à me rendre fou.


Je m’extirpe d’elle, recule, enfonce mes fesses dans le canapé, puis lui tire la main pour l’inviter à s’installer au-dessus de moi. Je lui propose :


– Chevauche-moi.


Ses yeux s’écarquillent. Elle affiche un grand sourire intéressé. Ni une ni deux Ambre se redresse, s’accroche à mes jambes puis à mes hanches, atterrit sur mes genoux. Elle a les siens de part et d’autres des miens, écartés. J’ai la queue enfouie dans sa mouille et la transpiration de son sillon inter-fessiers.

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