Le feu crépitait, le Marquis s'approcha de son épouse, toujours debout face à la cheminée, se colla à son dos et posa les mains sur les seins chauds de la belle.
Pointes érigées sous des doigts habiles, qui s'amusaient à les pincer, à les tirer, à les préparer à recevoir les anneaux d'or qu'il plaça avec précision et douceur.
Ses mains délaissèrent la poitrine pour se poser sur les épaules et faire glisser le kimono.
Elle apparut éclairée par les flammes qui créaient des ombres dansantes sur son corps nu.
Lui se tenait derrière elle et regardait les fesses offertes :
-- C'est votre cul sublime qui m'intéresse à mon tour... Le mien dans la forêt vous a servi de modèle, que diriez-vous de me céder le vôtre ?
-- Oh, je suis à vous... Usez de moi comme vous le souhaitez...
Le Marquis ne se le fit pas dire deux fois. Il lui noua un bandeau noir sur les yeux et la cravache qu'il avait gardée à portée de main se mit à parcourir son dos, descendant jusqu'au bas des reins, dessinant des lignes, des courbes, des traits imaginaires.
Un coup sec sur le cul soumis de la Marquise provoqua une contraction de ses fesses et souligna les deux fossettes qui, presque à l'identique de son époux, les ornaient...
Des gémissements se firent entendre au moment de la mise en place du bâillon, boule noire qui obstrua sa bouche.
La cravache, insinuée entre ses jambes, remonta jusqu'en haut des cuisses maintenant bien écartées et tapota de son bout plat la chatte impatiente...
Elle aimait cette caresse et les pauses entre chaque tapotement créaient un rythme qui la surprenait dans son irrégularité... dans son intensité variable. Elle se tordait de plaisir sous cette douce douleur... En voulait encore.
Il fit passer sous ses seins une corde qui en faisant le tour de son buste revenait par dessus les deux globes, les offrant ainsi fièrement.
L'homme la fit s'allonger sur le dos. Il releva les cuisses ouvertes pour lui attacher les poignets aux chevilles.
Il l'avait à sa merci, la regardait, belle, indécente. Merveilleuse catin.
La Marquise était tout à fait consciente de l'effet qu'elle produisait.
-- Ainsi exposée, vous feriez se damner un saint, dit le Marquis.
Il n'en était pas un, la femme était bien placée pour le savoir. À ces mots, elle bougea sensuellement les hanches, comme un appel à être "utilisée"... Dévouée... Impatiente d'être malmenée.
Le Marquis prenait son temps. Il versa lentement du Champagne sur le sexe brûlant... Le regarda frémir au contact de sa fraîcheur, de ses pétillements... et se contracter légèrement à la sensation du liquide qui s'écoulait le long de la fente sensible...
La bouche du Marquis était déjà sur la chatte offerte... Il léchait chaque goutte qui ornait cette douceur... buvait le clitoris avec tendresse... recueillait sur sa langue cette saveur qu'il goûtait avec amour. Il écartait les fesses de son aimée et se régalait de sa fente mouillée, de son oeillet doux offert, avec ivresse. Le Champagne avait coulé.
La Marquise ressentait intensément chaque sensation. Les frémissements de son corps, les sons que laissait échapper le bâillon, gémissements et longues plaintes, excitaient le Marquis.
L'homme caressait le petit trou. La Marquise savait qu'il la prendrait par là. Effectivement son cul sublime ne tarda pas à recevoir le plug que son mari enfonçait doucement. Elle sentait son anus s'ouvrir, se dilater pour mieux accueillir le gode qui s'engouffrait progressivement.
Une fois la progression du jouet terminée, le Marquis alla remplir son verre et s'approcha de la belle allongée pour arroser précautionneusement les tétons
débarrassés de leurs anneaux d'or, mais toujours entourés d'une corde qui les mettait tellement en valeur.
Mamelons divins qui se dressèrent encore plus au contact des bulles toutes fraîches. Le Marquis s'appliqua à les sucer, à les lécher, à les mordiller tout en posant sa main en conque sur le sexe mouillé et amorçant de légers mouvements circulaires qui faisaient trembler la Marquise.
Elle savait qu'elle ne devait pas jouir avant qu'il ne l'y autorise, qu'il allait retirer doucement le gode pour prendre sa place. Assaillir son cul de sa queue conquérante.
Elle aimait être sa conquête.
Elle aimait être aimée de Lui.
Lui l'aimait.
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