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Parking 13. - Diamant

Elle était en robe du soir dans la salle de réception du château. Elle rampait sur la longue table de bois pour rejoindre le sexe posé sur le bord, à l'autre bout. Elle avançait langoureusement. Sa poitrine, mise en valeur par le bustier qui l'enserrait n'en était que plus présente. Ses seins, à demi-enfouis, s'étaient libérés de toute contrainte et se dressaient fièrement à chaque avancée...

La table de bois ciré facilitait la progression de la belle créature. Fabuleuse, dionysiaque.

Arrivée à hauteur du Marquis, elle se mit à lécher le gland gonflé, reposant sur le bois, qui lui faisait face.

Seulement lécher.

Seulement le bout tendu.

Elle jouait de sa langue agile, à l'envelopper, sans le prendre en bouche, sans le sucer... À titiller le méat avec douceur... À laper la couronne lisse, frémissante.

Le Marquis bandait avec joie.

Il se dégagea néanmoins de cette langue experte et, lentement, alla se placer à l'autre bout de la table dans la même posture.

La Marquise se redressa. Elle avait toujours le même objectif : la queue monumentale qui l'attendait à nouveau.

Elle se mit à quatre pattes et avança, féline. Ses seins débordaient et dansaient sensuellement. Son cul sublime levé vers le ciel, se tortillait hors de sa robe retroussée sur ses hanches.

-- Allons ! Un peu d'audace que diable ! exigea l'homme.

La Marquise se releva et ôta sa robe, découvrant son corps orné d'un bustier carmin ourlé de dentelle noire qui soutenait sa poitrine magnifique. Ses bas de même couleur ainsi que sa culotte transparente, à peine teintée, ajoutaient à son charme divin.

Il la regardait.

Il aimait la regarder. Il lisait son corps. Il lisait son visage. Elle avait l'âme érotique.

Elle lisait son regard. Elle lisait son désir. Il avait l'âme érotique.

Elle s'avança, claquant des talons, lui tourna le dos, fit descendre sa culotte à ses pieds avec grâce et resta penchée jusqu'à toucher la table du bout des doigts.

Elle voulait qu'il voie son cul, au centre duquel trônait un diamant brillant de mille éclats.

Le Marquis resta un instant silencieux, scrutant le tableau de ses yeux éblouis :

-- J'ai le plaisir de constater que mon cadeau vous a plu, belle Donatienne, il vous sied à ravir. Vous voilà sertie avec goût.

Outre les bagues et autres accessoires, le Marquis aimait offrir des bijoux qu'elle portait parfois en secret.

-- Comment vous montrer ma gratitude si ce n'est en vous priant de prendre place vous aussi mon beau chevalier. Sertissez votre diamant brut en mon écrin brûlant !

Un long gémissement suivit cette invitation : le Marquis n'avait pas attendu pour la pénétrer doucement, progressant de manière à ressentir les vibrations provoquées par sa queue touchant, à travers la chatte si douce, le bijou qu'elle hébergeait dans son petit trou.

La Marquise était tout entière réceptive à chaque poussée. Lui était de plus en plus vigoureux. Elle s'abandonnait complètement. Elle voulait qu'il lui attrape les cheveux, qu'il assène des claques sur ses fesses, qu'il agrippe ses seins, les malaxe, pince les tétons dressés, qu'il enfonce ses doigts dans sa bouche, qu'il pose sa main sur sa gorge...

Qu'il la baise comme un fauve sa proie.

Le Marquis la sentait proche de l'extase, il se retira doucement, se réjouit de la vue du clitoris saillant, du sexe béant surmonté du diamant.

Chatte frémissante, cul frémissant.

Il se saisit du plug et le fit glisser lentement hors de l'oeillet doux qui l'accueillait, pour prendre sa place.

Jouir de la jouissance de son aimée.

Avec elle. En elle.

En-avec elle.

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