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Les jeux dorés de Dorothée - 6.

Nous sommes nus tous les deux, côte à côte accoudés au bar. Sa cuisse touche la mienne et nous flottons dans une bulle de plaisir.

— En tout cas, tu imagines bien que de commencer sa sexualité avec de telles envies, c’est compliqué des fois.

— Je veux bien te croire. Tu as dû pourtant trouver des partenaires un peu plus ouverts que d’autres, non ?

— Oh oui, et heureusement. Le plus drôle, je m’en souviens encore, c’était un type avec qui ça boostait bien. Une bonne énergie, beaucoup de plaisirs partagés. Je le sentais un peu différent, plus ouvert que d’autres comme tu dis. Déjà il n’avait pas hurlé lorsque mon doigt était venu en exploration du côté de son entre fesses. Il avait gémi au contraire. Je voyais bien qu’il avait envie de me demander quelque chose, mais rien ne sortait de sa bouche. Rien jusqu’au jour où nous étions en balade en forêt et il m’a demandé :

— Ça te gêne si je pisse devant toi ?

— Devant moi ou sur moi ? J’ai comme l’impression que tu n’oses pas me dire un truc.

— Sur toi ? Mais tu es tout habillée.

— Si c’est ça le problème.

Et j’ai ôté ma robe et ma culotte. Nous étions sur un sentier forestier peu fréquenté. Je l’ai encouragé.

— Allez vas-y mon loup. Tu en meurs d’envie. Et mois j’adore ça alors vraiment, ne te gêne pas.

Dorothée avait fini trempée de pisse et elle avait sucé son compagnon du jour au milieu des pins et des fougères. Elle riait encore en me racontant l’anecdote.

— En parlant de sucer, tu sais quoi mon chéri? Si tu allais t’installer tranquillement sur le canapé, que je puisse te dévorer tout entier, ça te dirait ?

Dorothée aime avoir une queue à sucer, ça la rend dingue. Elle aime réveiller ce bout de chair qui grandit en durcissant jusqu’à devenir une tige inflexible sur laquelle elle ira s’empaler. Elle la cajole avec douceur et passion, avec une intensité palpable. Une vraie addict de la pipe.

Une fois installée dans un angle du canapé, Dorothée se met à genoux face à moi et me relève les jambes en les écartant largement. Difficile de faire plus offert. J’ai débandé depuis un moment déjà, mais ma queue semble vouloir repointer le bout de son gland. Dorothée se jette dessus pour la gober presque entière. Avec fermeté, elle maintient mes cuisses ouvertes de ses mains et je découvre avec délice que faire l’amour avec une Dorothée directive et décidée m’excite salement.

Elle s’interrompt juste pour me dire :

— La prochaine fois, je t’attacherai les poignets aux chevilles. Tu vas adorer.

Et de reprendre de plus belle son ballet infernal. La pointe de sa langue vient agacer le bord de mon gland qu’elle gobe la seconde d’après, chaque fois un peu plus profond. Après avoir réveillé ma tige Dorothée s’intéresse à mes couilles.

— Hum, tu n’es pas très poilu toi. C’est super ça, la chair nue j’adore.

— Tu aimerais que je m’épile ?

— Ça serait une superbe idée oui !

L’une après l’autre, Dorothée recueille mes couilles dans sa bouche où elles baignent dans un flot de salive chaude tandis que sa langue va et vient sur mes petits sacs de chair. Puis elle descend plus bas, passant en douceur sur le périnée, là j’ai gémi plus fort, elle continue jusqu’à arriver au bord de mon anus. D’abord elle pose ses lèvres sur mon œillet pour lui donner un vrai baiser passionné, qui tourne vite à un ignoble bouche-à-bouche lubrique. Puis sa langue pointue appuie sur mon anus, je pousse un peu pour lui faciliter la tâche. La sensation flirte avec les étoiles. Comment s’y prend-elle ? Je sens distinctement le bout de sa langue me chatouiller les muqueuses tandis que sa main me branle lentement.

Jamais personne ne m’a bouffé le cul comme Dorothée le fait ce soir. Je tente comme je le peux de me retenir de jouir. Pas maintenant, pas encore. C’est trop bon. Plus encore lorsque je sens qu’un de ses doigts vient occuper la place laissée libre par sa langue. Tout en continuant à me doigter et à me branler, Dorothée se relève pour mieux s’accroupir au-dessus de ma tige. Elle colle ses lèvres intimes sur mon gland congestionné et comme la première fois, elle promène mon sexe dans tous les replis du sien en prenant tout son temps pour savourer cette caresse.

— Glisse-moi un doigt dans le cul je t’en prie. J’en ai trop envie.

Son anus s’ouvre à ma première sollicitation. En retour, un court jet d’urine vient s’écraser sur mon ventre. Le suivant touche mon gland. Elle m’inonde et c’est délicieux. Dorothée est au paradis, son visage illuminé dit tout le plaisir qu’elle éprouve à ce moment précis. Abandonné comme jamais, dans une totale félicité, je lui souris tandis qu’elle me dévore du regard.

Je me souviens juste avoir pensé c’est un truc de dingue ce qui m’arrive avant de jouir dans un déluge de sperme

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