« Bonjour Marie,
Que dirais-tu de faire « escort-girl seniore » pour moi ? Je te présenterai comme ma maîtresse. Je t’offre à mes clients en fin de soirée, il y en aura quatre ou cinq dans un gîte de luxe près de Laon. Comme tu as de la conversation et que tu lis énormément, cela passera très bien auprès d’eux qui travaillent tous dans l’édition. Ils ont à peu près le même âge que moi, ils seront donc moins intimidés par une belle femme mature. Et puis, faire tout ce qu’ils ne peuvent pas ou plus faire avec leurs femmes (ce qu’ils n’ont jamais fait pour la plupart), quel pied ils vont prendre !
Le scénario : en fin de soirée je t’embrasse en caressant tes seins sous ta robe (tu mettras celle qui est fermée par un seul nœud sur la nuque ?). Je dénoue le lien pour que tout le monde te voit nue. Je te mets à genoux en appui sur la table basse et ces messieurs se relaient pour se faire sucer et te pénétrer.
Ou, slow et lumière tamisée, je dévoile ton cul et tes seins et invite chaque participant à danser avec toi en te pelotant, puis tu les rejoints sur le canapé pour te faire bien défoncer. Quatre ou cinq hommes donc et avec sodomie. Ils n’auront pas du tout l’impression d’avoir affaire à ma petite pute préférée.
J’aimerais que tu sois très maquillée pour que cela coule quand tu suceras. Également que tu ne te laves pas le sexe pendant au moins deux jours, tu sais combien j’apprécie l’odeur naturelle de ton corps et de ta chatte.
Autre possibilité, je les préviens d’emblée que je t’ai embauchée et tu peux carrément les sucer dès le début sous la table, à toi de voir.
Je t’imagine servant l’apéro, nue, te faisant tripoter au passage, quelques doigts dans la chatte pour prélever ton odeur. A genoux sous la table débraguettant ces messieurs. Allongée sur ladite table, les cuisses écartées largement par deux hommes tandis qu’un troisième te pénètre. Les bras et la tête maintenues pour enfourner une bite bien à fond. Dès le début, dans le jardin, penchée à la portière d’une voiture, cassée en deux, suçant le conducteur tandis qu’un autre te ramone violemment…
C’est un gîte avec des poutres apparentes, on peut envisager de t’y suspendre… Je sais que tu aimes les situations où tu es contrainte.
Si tu es d’accord, je passe te prendre samedi prochain à 19h00 sur le trottoir d’en face, tu me verras de tes fenêtres. Je peux aussi inviter ton mari sous un prétexte quelconque mais j’ai peur que la comparaison fasse perdre leurs moyens à certains ! Tu me diras quel scénario tu préfères…
PS : Conditions habituelles multipliées par le nombre d’hommes présents, moi compris.
Tout à toi, Max. »
NB : transcription d’une communication téléphonique avec un de mes photographe, responsable dans l’édition.
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