La semaine suivante, nous passons vous et moi le seuil du sauna libertin – l’un des saunas libertins parisiens. J’ai choisi une journée réservée aux couples, bien sûr.
Le vestiaire est un peu surprenant, pour les novices – on se déshabille en effet devant les casiers à vêtements, avant de s’entourer d’un paréo et d’une serviette. Ah, nous avons aussi chacun un bracelet en tissu, avec une pochette contenant des préservatifs… Aucune cabine : les autres pratiquants peuvent vous voir vous changer… Mais il est rare qu’il y ait foule à cet endroit : tout le monde est pressé de gagner les parties intéressantes du lieu. Et de fait, nous sommes seuls. Pourtant, curieusement, vous réussissez à vous changer en dévoilant un minimum de nudité.
………
On passe ensuite au jacuzzi, assez grand pour huit ou dix couples – là, il faut bien que chacun se mette à nu avant de se plonger dans l’eau. Vous avez un instant d’hésitation avant de vous lancer… Oh, après tout, ce n’est rien d’autre qu’un jacuzzi nudiste, jusqu’ici !
Une fois dans l’eau bien chaude, je vous prends dans mes bras pour vous rassurer… mais en restant derrière vous, pour vous laisser observer les autres baigneurs. Trois ou quatre couples qui s’enlacent, s’embrassent… mais guère plus, ou très discrètement.
L’ambiance calme, et peut-être mes caresses, vous tranquillisent. Vous observez les baigneurs quand une belle brune de quarante ans environ, laissant derrière elle son compagnon, un grand type basané, se dirige vers nous et nous demande si nous voulons nous joindre à eux.
Comme vous restez muette, je réponds : « Ma compagne est novice, elle doit encore s’habituer. »
« Vraiment ? Alors, bienvenue ! »dit la brune en s'avançant vers vous et en vous embrassant sur les deux joues. Vous ne pouvez faire autrement que lui rendre ses bises… et notre nouvelle amie en profite pour vous caresser les seins. Ils ne sont pas très gros, certes, mais je vous ai dit souvent que c’était sans importante. Ce soir en tout cas, leurs tétons sont fièrement dressés et la brune apprécie…
« Moi, c’est Nina ! A tout à l’heure, sûrement ! »
Vous vous retournez vers moi et vous m’embrassez – mais pas sur les joues. Votre langue est déchaînée dans ma bouche et vos tétons bien durs sur ma poitrine… Apparemment, l’ambiance vous a tout de même mise en éveil…
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Je pense qu’il est temps de quitter le jacuzzi pour passer au sauna. Il n’y a que quelques pas entre les deux – heureusement, car le sauna permet de se sécher en sortant de l’eau.
Mais la chaleur du sauna a d’autres effets. Je vous enlace, vous me serrez contre vous et vous sentez les effets en question, durs contre votre ventre !
Je vous murmure qu’il me semble urgent de passer dans les chambres…
………
Les chambres sont des espaces de tailles diverses, certains où l’on tient tout juste à deux, d’autres où l’on est à l’aise à dix… Toutes sont garnies de larges coussins, ou de matelas.
Vous tombez en arrêt devant l’une des larges fenêtres d’une grande chambre donnant sur le couloir. Là, trois couples s’entremêlent joyeusement. Votre respiration s’accélère, vous serrez fortement ma main… avant de m’entraîner dans une chambre inoccupée et de me bousculer littéralement sur les coussins. Nos paréos ont disparu avant que nous soyons allongés.
Vous m’enjambez comme une cavalière experte, avant de vous empaler sur mon sexe dressé en poussant un long soupir de plaisir. En réponse, je donne des coups de reins – soulevée en rythme, vous poussez de profonds feulements de satisfaction à chaque fois. Après quelques instants de cette chevauchée, vous vous allongez sur moi en haletant, le visage tout près du mien.
Alors que le plaisir nous envahit tous deux comme une chaude marée, vous sentez la présence de quelqu’un d’autre. Nina, la brune du jacuzzi ! Tout en caressant d’une main votre nuque et votre dos – vous êtes toujours allongée sur moi – elle approche son visage des nôtres : « Ah, c’est bien, c’est très bien ! Un petit baiser ? »Et sa langue pointue vient titiller nos lèvres. Nos langues répondent aussitôt – un baiser à trois, délicieux…
Alors, vous sentez sa main descendre le long de votre dos, caresser vos fesses… faire courir son index entre les deux… et l’enfoncer doucement dans la corolle de votre anus. Le souffle un instant coupé, vous lâchez un Ah ! de surprise.
– J’ai mis de la crème,chuchote la brune, pour que ce soit encore plus agréable !
Personne ne vous avait encore fait ça. Vous gémissez une sorte de protestation… ou de remerciement… pour le doigt qui s’enfonce aussi loin que possible, repart, revient…
– Personne ne t’a encore fait ça ? Tu vois ce que tu ratais ! Tu aimes, pas vrai ?
Oh oui, vous aimez ! Votre bassin frémit sur le mien, votre vagin se contracte autour de mon sexe. Celui-ci perçoit le doigt de la brune… et il aime ça, lui aussi.
Soudain, Corinne enlève son doigt en disant : « Carlo voudrait aussi s'amuser avec nous ! » et vous sentez d’autres mains se posez sur vos fesses. C’est le grand brun, qui s’installe sans cérémonie entre nos jambes allongées et se penche vers vos fesses – en tournant la tête, vous l’apercevez. Il a un sexe long et dressé, visiblement bien dur !
Puis vous ne voyez plus rien – mais vous sentez.
Le nommé Carlo écarte doucement vos fesses, avant de planter carrément son sexe entre elles, directement dans votre anus ! Bien préparé par le doigt de Nina, celui-ci ne résiste guère à cette nouvelle pénétration. Vous gémissez – douleur ?… Surprise ?… Plaisir ?!
Un instant, vous tentez de vous échapper, mais vous êtes prise entre Carlo et moi, et nos deux sexes à présent vous fouillent en même temps, séparés par une mince paroi de chair tendre !
Carlo et moi, nous sommes déchaînés par ce frottement, nos coups de rein se répondent, l’un par-dessus, l’autre par-dessous, nous haletons ensemble, vous êtes envahie des deux côtés, une marée de plaisir vous inonde comme jamais et bientôt, vos cris couvrent nos grondements – ce sont des cris de joie, de plaisir, de jouissance !
………
Une fois désunis, nous restons tous trois allongés un long moment, saturés de jouissance…A côté, Nina est agenouillée – elle n’a pas participé directement à la cavalcade finale, mais vous êtes sûre qu’elle a joui elle aussi…
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