Alors que je ne suis plus que pure observatrice, spectatrice et objet de tes désirs, tu prends le temps de te déshabiller.
Arrivés chez toi, tu ne tardes pas à m’entraîner vers ton lit. J’ai à peine le temps de remarquer le miroir en pied posé là, devant le lit, que tu retires ma jupe et mon pull. Tu m‘installes à plat ventre sur le lit, attaches chaque poignet dans mon dos à une cheville relevée. Je suis ligotée, sur le ventre, les cuisses largement ouvertes face au miroir et contraintes par ces liens, qui impriment la position dans laquelle tu veux me voir prise.
Alors que je ne suis plus que pure observatrice, spectatrice et objet de tes désirs, tu prends le temps de te déshabiller. Les quelques lumières de ta chambre éclairent largement tes lignes, ton corps… ta queue qui s’érige enfin, elle est déjà si raide… j’ai très envie de toi.
Tu t’approches de ma bouche que tu lèches, embrasses puis bâillonnes.
Un bandeau vient couvrir mes yeux.
Je ne sais plus rien d’autre que la peau de tes doigts que je sens caresser mon dos. Tu sembles toujours installé près de ma tête, sur le bord du lit. Ta queue est près de ma bouche. Tes doigts sillonnent ma colonne, la parcourent jusqu’à la chute de mes reins que tu dessines. Je sens quelques gouttes d’un liquide tiède et épais, je reconnais l’odeur de cette huile que tu étales lentement sur mon cul, tu passes ta main entre mes cuisses et enduis lentement mon sexe, mes fesses, mes cuisses qui doivent luire sous tes mains.
Je suis à la fois sous tes yeux, et projetée dans le miroir qui t’offre une vue entière sur tes envies et mon plaisir. Tu vois à ta guise, ma fente et mon cul huilés que tu masses et ouvres, mes talons quasi rivés à mes poignets… plus haut : les bandeaux noués qui passent sur ma bouche, mes yeux, mes cheveux.
Ta voix, à nouveau :
- Tu as toujours envie de me sucer ? Moi j’ai envie de te voir godée.
C’est la pointe plastique et tendre du gode que je sens caresser ma fente, jouer avec mes fesses…. J’entends la pression d’un tube et l’effet frais de cette gelée qui arrose mes fesses frissonnantes. Tu ne peux t’empêcher de jouer avec cette entrée, tu te vois aisément me sodomiser alors que je suis entièrement à ta merci. Tu ne sais pas si tu te servirais brutalement ou bien très lentement, comme au ralenti.
Le gode me parcourt, étale ces fluides qui se mêlent de plus en plus au mien.
Je n’ai jamais été aussi contrainte que maintenant. Comme réduite à presque rien, ce sont tes envies qui me tiennent. Ce sont elles qui me tendent, me serrent et m’empêchent. Elles sont si saillantes qu’elles cambrent mon cul, font vibrer ma voix et agitent mes reins qui ondulent sous tes mains. J’ondule, je me tords, je gémis et je me languis de tes envies, de tes caresses.
Tu reviens à ma tête que tu relèves et déshabilles du bâillon, tu forces ma bouche avec ta queue… Je te suce et gémis sur ton membre lorsque je sens le gode me pénétrer au même rythme.
- Hum, toujours aussi mouillée. Tu es si belle, si tu te voyais. J’aime te baiser la bouche et te goder tout en même temps. Tu le prends tellement bien.
Tu empoignes et tires mes cheveux. Maintenant, tu ne tiens que ces deux extrémités : le gode qui me pénètre fermement et mes cheveux tirés vers toi qui guident et répondent des assauts de ton jouet, de mes ondulations frénétiques.
Je cherche ton contact et le prolonge de vagues aveugles et délicieuses. Mon cul, mes hanches et mon ventre ondulent malgré moi, je me sens prise de toute part, soumise à ces membres que je réclame. Je sais et me rappelle combien je te veux à tous les endroits, encore. Ta bite, ce gode me comblent et me poussent à jouir d’un orgasme que je sais déjà très intense. Je monte malgré moi, je vais jouir de toi et du plaisir que tu prends sur moi.
Tu aimes voir mon corps, mes fesses, mes hanches luisantes osciller, vibrer sur cette queue que tu maîtrises d’une seule main.
Ta langue se mêle par moments aux allers et venues du gode en moi.
Tu lèches et dégustes mon plaisir intime qui ruisselle et humecte ma peau, ta langue…
Lorsque tu me bâillonnes à nouveau, je goûte à cette contrainte sur ma bouche. Je gémis mes envies. Le bandeau sur mes yeux ne cesse de forcer mes sens qui se décuplent et me poussent un peu plus au bord de l’orgasme.
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