top of page

Saint-Valentin augmentée...

Trouver un cadeau original pour la Saint Valentin, voilà le casse-tête que je me coltinais depuis plusieurs jours déjà. Des fleurs ou des chocolats ? Hors de question car vu, revu et horriblement commercial. J’avais bien pensé à un sextoy également mais la chose est devenue courante et, de toute façon, elle en a un plein tiroir. C’est alors qu’une idée me vint, un peu folle peut-être, mais inédite au moins dans notre couple et certainement dans sa vie. Je gardais l’idée d’un objet de plaisir mais celui que je lui destinais allait être sur pattes et bien vivant. Nous avions envisagé l’idée de faire entrer un tiers dans nos jeux et cette date était à mes yeux l’occasion rêvée.

Ne restait plus qu’à trouver le candidat idéal et le temps m’était compté. J’avais créé un profil sur une application dédiée à ce genre de rencontres dans l’hypothèse de nous ouvrir et elle allait finir par servir. Je passai donc une annonce pour l’occasion en essayant d’être original et, une fois la ligne lancée, je me mis à attendre que ça morde. Je ne tardai pas à avoir des propositions, la plupart vulgaires et sans intérêt (une photo de sexe en érection, probablement non contractuelle et accompagnée d’un “ta fame va aimé se cado”, était loin d’être quelque chose d’excitant), mais en faisant un gros travail de tri, je finis par trouver deux ou trois garçons tout à fait convenables avec lesquels je me mis à converser. Il s’avéra difficile de choisir dans cette short list mais , au bout de quelques messages, j’eus la certitude que “phil sympa 31" serait le cadeau idéal pour ma bien-aimée. Plutôt bien gaulé d’après ses photos et visiblement doté d’une culture et d’un humour affirmés, il cochait à mes yeux toutes les case sans compter qu’il acceptait très bien le fait de ne pas plaire et que, si tel était le cas, il disparaîtrait immédiatement. Je lui donnai donc rendez-vous autour d’un verre à la sortie du travail pour finir de faire connaissance et valider mon projet.

Il était encore mieux en vrai qu’en virtuel. Elle allait certainement craquer et j’eus un petit pincement de jalousie à l’idée de la lui confier, vite passé lorsqu’il me déclara qu’il était parfaitement bi et qu’il pouvait tout aussi bien s’occuper de moi que d’elle. Cela n’avait pas été évoqué lors de nos échanges de messages mais je lui avouai que, si ce serait une première pour moi, l’idée n’en était pas moins très intéressante et que je brûlais d’envie de servir de trait d’union entre lui et ma bien-aimée. Nous étions d'accord sur tout et, nos consommations réglées, nous nous mîmes en route. J’ouvrais la voie avec mon véhicule et il me suivait.

Nous arrivâmes à la porte du domicile conjugal, que j’ouvris en souhaitant une bonne Saint Valentin à mon amoureuse avant de m’effacer pour laisser mon complice lui faire la surprise.

— Je finis de me préparer mon amour ! Installe-toi dans le salon en attendant.

Il y avait une bouteille de champagne dans un seau sur la table basse mais, chose plus surprenante, il y avait trois flûtes. Mon secret avait-il été éventé ? Elle avait elle aussi accès à l’application et elle aurait pu voir mes recherches. Je n'eus pas vraiment le temps de gamberger plus longtemps, quelqu'un sonna à la porte et lorsque j'ouvris ce fut pour me retrouver nez à nez avec une grande rousse aux formes rebondies et au sourire charmeur.

— Bonsoir, je suis Sharon, une copine de Sylvia et je suppose que tu es Erwan, tu es en tout point conforme à ce qu’ elle m'a dit de toi en tout cas et je pense qu'on va bien s'entendre.

Elle dépose deux bises sonores sur mes joues, juste assez près de la commissure de mes lèvres pour me troubler, et se tourne vers Phil.

— Oh, mais tu as amené un ami toi aussi ? Ça va vraiment être amusant cette soirée alors.

Nous retournons dans le salon, Sylvia y a fait son apparition et ses yeux vont du cadeau que je comptais lui faire à moi d'un air gourmand.

—  Mon petit doigt me dit que toi non plus tu n'avais pas envie d'une soirée de Saint Valentin assommante en tête à tête et je te remercie pour ta surprise, ce garçon me plaît beaucoup, tu l'as trouvé où ?

Le fait que personne ne soit dupe de la tournure que vont prendre les événements me rassure et, tout à la fois, me donne le vertige. Je pensais à un trio, nous voici quatuor, et je me perds à essayer de calculer les opportunités que cela peut apporter. Heureusement que ma bien aimée a un peu plus les pieds sur terre et propose de boire un verre afin de célébrer notre entente naissante.

—  Oh, mais il manque une flûte, je file en chercher une.

Phil se propose de l'accompagner et une délicieuse jalousie me transperce la poitrine alors qu'ils disparaissent en direction du placard, sensation immédiatement dissipée par la main de Sharon qui se pose très haut sur ma cuisse.

—  Vous êtes débutants tous les deux, ça crève les yeux et c'est touchant de voir ta réaction. Je te propose de commencer sans eux vu qu'ils ont décidé de s'éclipser, ça te va ?

Je suis un peu en pilotage automatique lorsqu'elle s'attaque à ma braguette en écrasant sa bouche mais je prends peu à peu confiance et saisis sa lourde poitrine à travers son chemisier, ce qui me confirme qu'elle ne porte rien dessous.

—  Eh bien ! On ne peut pas vous laisser seuls cinq minutes espèces de cochons

La voix de Sylvia vient de résonner, amusée, dans le salon, et lorsque je me tourne, je vois qu'ils n'ont pas perdu de temps vu qu'elle a les seins à l'air et que si elle rapporte en effet une coupe, son autre main tient Phil, déjà bandant, par la queue.

—  Vous non plus ma chérie.

—  Tu as parfaitement raison mais comme nous sommes là pour nous amuser, autant ne pas perdre de temps.

Je suis scié par son aplomb et excité tout autant de constater cette aisance. Je propose donc à tout le monde de se mettre à l'aise et c'est complètement nus que nous trinquons.

—  Tu as déjà fait une pipe au champagne Sylvia ? Et toi Erwan ?

Nous devons reconnaître que non et nos nouveaux amis se proposent de combler ce manque. Sharon, très pédagogue, prend une gorgée qu'elle conserve dans ses joues puis se penche et me gobe la queue. Je découvre alors que le picotement dû aux bulles décuple les sensations de la langue de mon amante sur ma tige et je dois m'accrocher à l'accoudoir.

—  Ton homme semble aimer.

­ —  Et toi Phil ?

Sylvia ne lui laisse pas le temps de répondre et imite son amie. Nous voilà donc tous les deux en train de nous faire sucer et je dois reconnaître que si Sharon s'y prend très bien, mon excitation vient essentiellement du fait de voir comment la femme de ma vie s'occupe d'un autre. Ces dames ont décidé de passer à autre chose et, après un nouveau verre, le tableau se recompose. Comme par magie, une poignée de préservatifs et un tube de lubrifiant ont fait leur apparition sur la table basse et, avant de nous encapuchonner, Sharon nous branle pour nous donner la raideur nécessaire à la suite tandis que Sylvia joue avec ses gros nichons dont les pointes luisent désormais de salive.

—  Messieurs, vous allez lui offrir sa première double pénétration et vous êtes prêts pour cela. Erwan, en ta qualité de mari, tu as le choix du trou.

Mon inexpérience décide à ma place. Nos deux larrons estiment en effet que l'expérience sera plus réussie si ma femme s'empale sur moi tandis que Phil l'enculera.

—  De plus, il a une queue parfaite pour cela, pas trop épaisse et progressive.

Il approuve ce propos et ajoute que c'est en effet souvent son rôle. Il ne reste donc plus qu'à nous mettre en action. Je m'allonge donc sur le dos, le sexe dressé vers le plafond et Sylvia m'enfourche avant de me guider dans son vagin d'une main décidée. une fois installée, nos deux complices s'occupent longuement de son anus, ce qui commence à la faire onduler sur ma tige. Une petite tape de Sharon sur les fesses la ramène à la raison.

—  Tu auras tout le loisir de remuer une fois qu'ils t’auront doublement embrochée petite coquine, mais je vois qu'il ne faut pas t'en promettre. Tu as déjà le cul bien ouvert.

—  C'est un fantasme qui se réalise, j'en avais envie depuis longtemps mais c'est la première fois que l'occasion se présente.

—  Comme quoi vous avez bien eu raison de vous offrir ces cadeaux. Vivez bien ce moment.

Phil s’approche de la croupe qu'on lui offre et, très délicatement, s'introduit dans le rectum de Sylvia. Je suis cette progression dans l'expression de son visage, d'abord surprise puis, en plein relâchement. J'ai également senti la queue de son amant contre la mienne à travers les quelques millimètres de ses membranes et, alors qu'il s'immobilise il me semble que nous palpitons tous les trois à l'unisson. C'est le moment que Sharon choisit pour venir s'asseoir sur mon visage et empoigner Sylvia par les hanches, comme si elle voulait la guider. La situation lui fait un sacré effet car elle se met à couler dans ma bouche à peine ai-je commencé à la lécher, un jus légèrement salé et acidulé que j'adore aussitôt. Tout se met en branle ensuite. Mon épouse, bien aidée par son amie, joue des deux hommes qui la prennent et Phil se montre tout aussi viril que précautionneux avec elle, ce qui ne tarde pas à lui faire perdre la tête et il faut que Sharon lui fasse un bâillon de sa bouche pour ne pas qu'elle hurle. Ses mouvements n'en deviennent pas moins de plus en plus désordonnés et il nous faut nous cramponner pour rester en elle. Sylvia finit par pousser un énorme gémissement avant de s'abattre sur moi, terrassée par un puissant orgasme. Phil, toujours bandant, se retire de son cul, se débarrasse de la capote et Sharon, qui vient de gicler dans ma bouche, le prend dans la sienne. Ma bien aimée, quant à elle, finit par rouler sur le côté et, étendue à mes côtés, se saisit de ma bite.

—  Il est temps de vous faire jouir les garçons, vous avez été formidables et vous devez en être récompensés.

Je tiens à apporter mon obole au plaisir de Phil et ma main remplace celle de notre rousse amie sur sa tige. Je mesure alors comme ses veines sont marquées ainsi que sa légère courbure qui a dû faire beaucoup de bien à ma femme. Cette dernière me gronde gentiment.

—  Laisse-nous donc le finir, et toi aussi.

Nous nous retrouvons donc face aux deux filles qui nous branlent, nos queues pointées vers leurs poitrines, et la récompense arrive rapidement. De grandes giclées de foutre épais recouvrent les deux coquines qui, après nous avoir nettoyés, se lapent les seins pour se régaler de notre semence.

Le champagne a tiédi pendant nos ébats et il a une saveur tout particulière pour Sylvia et moi, celui d'une découverte qui va en amener d'autres. Nous ne pouvions pas rêver meilleur cadeau.

38 vues0 commentaire

Posts récents

Voir tout

Perles...

Son collier de cuir noir, signe de sa dévotion, lui allait à merveille.

Cet automne...

Sitôt entrée, j’ôtais mes habits comme s’ils me brûlaient, enfilais une chemise de nuit, me jetais sur mon lit et ouvrais mon livre.

bottom of page