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Minuit est une heure nue...

Elle était debout, un bandeau sur les yeux, bras relevés, poignets entravés et maintenus au-dessus de sa tête par une chaîne accrochée à une poutre.

Nue.

Cambrée.

Il s'approcha lentement, il la regardait. Elle aimait être regardée, elle sentait son regard sur elle, sur son corps soumis, indécence magnifique.

Elle était prête à recevoir ses caresses, son cul sublime attendait sa main. Sa main qui la touchait à présent, qui descendait lentement le long de son dos pour enfin s'arrêter sur ses fesses, les empoignant, les ouvrant, les caressant, alternant douceur et vitalité.

Sa cambrure, ses jambes écartées l'invitaient à glisser ses doigts au-delà, ses gémissements se fondaient avec les mouvements sensuels de ses courbes. Il était derrière elle, ses doigts jouaient avec son clitoris. Et son bassin, et son cul sublime les accompagnaient dans une danse érotique, ses doigts la pénétraient et fouillaient doucement sa chatte brûlante. Ses gémissements devenaient des sons enchanteurs. Harmonie.

Il la détacha, libéra son regard.

Sur un signe elle s'approcha de lui. Son sexe était déjà tendu vers elle. Elle s'agenouilla et commença à le branler tout en le léchant avant de le prendre en bouche, de le sucer, de le taquiner. Sa langue descendait sur ses testicules, les léchait, sa bouche les gobait puis revenait sucer sa queue, obéissant à ses va et vient.

Soumise et offerte.

Elle se plaça à quatre pattes, cul offert, chatte offerte. Sublime.


Elle n'était aucune autre

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