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Photo du rédacteurArturo

Le miroir

Vous entrez dans la chambre devant moi. Vous entendez la porte se refermer, mais votre regard s'arrête sur le grand miroir qui vous reflète en pied. Vous vous examinez en souriant – escarpins élégants, ample jupe rouge vif, chemisier blanc tendu sur une poitrine qui attire les regards masculins…

A l'instant où vous allez vous retourner vers moi, je vous enlace par derrière. Dans le miroir, vous voyez mes bras se refermer autour de votre taille et vous attirer contre ma poitrine, ma bouche tout près de votre oreille. Vous m’entendez murmurer quelque chose de très doux… Vous vous laissez aller.

Dans le miroir, mes mains remontent sur le chemisier blanc pour empaumer vos seins, dans une caresse douce et ferme à la fois. Vous soupirez profondément, accentuant encore le contact entre mes mains, mes grandes mains et votre poitrine. Puis mes mains s'animent à nouveau, pour aller s'attaquer aux boutons du chemisier, qui s'ouvrent l'un après l'autre. Suivant leur mouvement dans le miroir, il vous semble regarder une scène au cinéma, et non votre propre reflet… Le dernier bouton défait, le chemisier s'ouvre sur votre soutien-gorge, une délicate pièce de lingerie fine - blanche, elle aussi, vous n’alliez pas faire la faute de goût d'un soutien-gorge sombre sous un chemisier blanc ! Vous pensez alors que je vais m'écarter de vous pour pouvoir dégrafer le sous-vêtement, vous allez pouvoir vous retourner vers moi…

Mais les mains remontent jusqu'aux bonnets pour les entourer délicatement et fermement. Vous soupirez à nouveau, encore plus profondément. Sous la dentelle, vous sentez vos seins se dresser… Alors, vous voyez mes mains, dédaignant d’aller dégrafer le soutien-gorge, le soulever et se glisser dessous, empaumant vos seins à même la peau à présent. Vous avez un petit hoquet de surprise, puis un autre quand, de chaque côté, je me mets à presser délicatement vos mamelons entre le pouce et l'index. Sous la caresse, les pointes de vos seins, déjà bien dressées, durcissent instantanément. Vous voulez faire quelque chose, tendre les mains derrière vous, mais je suis étroitement collé à vous - tout contre vos reins, vous sentez durcir mon sexe…

Après une nouvelle caresse, un léger pincement, alors que la main gauche continue de presser votre sein gauche, vous voyez dans le miroir la main droite abandonner votre poitrine pour descendre vers la taille. Ah, je ne vais pas pouvoir dégrafer votre jupe ainsi… Mais ce n'est pas mon intention. Toujours comme s'il s'agissait de quelqu'un d'autre, vous voyez la main retrousser la jupe, plus haut, plus haut… Descendre jusque sur la cuisse à présent découverte… Caresser la cuisse à travers l'étoffe diaphane du bas… Puis remonter jusqu'à la limite entre le bas et la chair… S'aventurer sur la peau entre le bas et le slip… Tandis que la main gauche, délaissant le sein gauche, va s'emparer du sein droit pour vous serrer plus étroitement contre ma poitrine. Vous avez un nouveau hoquet quand ma main droite se pose sur votre sexe, à travers la dentelle du slip. Dans votre oreille, vous m’entendez haleter.

Après quelques douces pressions, la main remonte un peu, pour s'introduire sous l'élastique du slip. Vous aussi, vous commencer à haleter en sentant les doigts parcourir votre mont de Vénus, atteindre votre… clitoris… Le… saisir… le… caresser… Vous entendez quelqu'un gémir, vous comprenez que c’est vous, alors que les caresses sur votre sein et sur votre clitoris deviennent simultanées… Un doigt s'aventure dans la fente de votre sexe, en ressort humide et les caresses reprennent sur votre clitoris… Encore et encore, encore et encore… Quand la jouissance vient, votre corps s'arque puis se détend… Un long gémissement s'échappe de vos lèvres…

Dans le creux de votre oreille, vous m'entendez murmurer : "Bien… maintenant, mets-toi à genoux." Vous vous laissez tomber sur les genoux plutôt que vous ne vous agenouillez. Vous me sentez faire de même derrière vous. Dans le miroir, vous me voyez poser les mains sur vos épaules et appuyer doucement. Docile, vous vous inclinez… plus encore… jusqu'à être tout à fait prosternée, le visage contre le tapis, vous ne voyez plus rien, mais vous vous savez à présent prosternée, les fesses offertes…

Vous sentez mes mains relever votre jupe, découvrir largement votre cul ferme et si appétissant, le caresser brièvement avant de se débarrasser de la légère dentelle du slip et d'écarter doucement vos fesses. Vous avez un petit soupir quand vous sentez ma verge effleurer votre fente déjà trempée. Puis la presser presque timidement… puis plus fort… Y pénétrer à peine… se retirer, revenir… Pénétrer franchement… de plus en plus… Puis d'un coup, vous transpercer à fond ! Et se mettre à aller et venir, vous pilonnant sans pitié, faisant monter en vous des ondes successives de chaleur brûlante !

Je crie de jouissance, vous planez déjà de plaisir… Quand nous roulons ensemble sur le tapis, vous apercevez nos corps mêlés dans le miroir et vos lèvres s'arrondissent pour envoyer à l'image un léger baiser.

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