top of page

Ivre de vous (1)

Comme il est enivrant de sentir nos corps se toucher pour la première fois.


Nous avons passé la soirée dans votre salon à bavarder autour d'une bouteille de vin confortablement assis votre canapé de velours.

Verres et confidences se sont succédé et les regards se sont fait de plus en plus appuyés. Jusqu'à ce que nos mains se touchent puis s'entremêlent. Votre joue dans le creux de ma main nous nous sommes embrassés. Le doux contact de nos lèvres, nos langues qui s'effleurent et c'est tout l'univers autour de nous qui s'est effacé.


Nous nous serrons, je vous enveloppe et mes mains partent à la découverte de votre corps. Je m'euphorise de vous, de votre parfum, de la douceur de vos formes. Vos épaules, votre dos, la courbure de vos reins. Nos mains ont tôt fait de se glisser sous nos vêtements. Alors que nos baisers deviennent fougueux, je parcours la chaleur de votre peau.

En un instant votre chemisier est ouvert tout comme ma chemise. Nos bustes brûlants se collent l'un à l'autre. Comme il est enivrant de sentir nos corps se toucher pour la première fois.

Nos hauts finissent au sol tandis que mes baisers viennent dévorer votre cou. Petit à petit, mes lèvres fondent vers votre poitrine voluptueuse qui est soutenue par de la fine dentelle. Alors que je viens y plonger à pleine bouche, je libère vos seins.

Je prends un de vos tétons en bouche, votre souffle s'accélère, votre poitrine se bombe tandis que je le sens durcir sous ma langue. Je répète la même scène avec votre autre sein. Je sens vos mains plaquer ma tête contre vous. De longue secondes durant, je me régale de votre poitrine avant finalement de reprendre la route de mes baisers sur votre ventre brûlant. Me voilà maintenant à genoux au sol, entre vos jambes.


Je ne me laisse pas freiner par la lisière de votre pantalon que je déboutonne et fais glisser le long de vos jambes. Mettant à jour la douce et dernière pièce de tissu masquant votre intimité. J'y dépose un baiser. Elle est chaude et laisse deviner le délicat sillon qui se cache dessous. Je peux déjà sentir l'odeur divine de votre sexe. Je commence à la faire délicatement glisser à son tour faisant apparaître votre toison. Elle est soyeuse et minutieusement taillée en un triangle qui semble indiquer la direction à suivre.


Juste au-dessous, vos lèvres sont encore serrées. Je les parcours de ma langue, vous gémissez. Le goût est délicieux et je ne résiste pas au désir de recommencer. Vous vous entrouvrez un peu, ma langue s'aventure un peu plus profondément et vient baigner dans votre nectar. Je m'en délecte et viens au contact de votre clitoris. Je le sens gonfler sous ma langue qui explore maintenant votre sexe en profondeur. Je m'abreuve de votre jouissance à pleine bouche, stimulé par vos gémissements toujours plus intenses.

Vous vous cambrez et vous ouvrez ainsi en grand à mon appétit.

J'en profite pour venir délicatement insérer mon doigt en vous. Légèrement recourbé, il vient stimuler la rugueuse face antérieure de votre vagin. De plus en plus vite, de plus en plus intensément. Vos gémissements se font maintenant cris alors que ma langue dévore votre clitoris. Je vous sais sur le point d'exploser. Je m'en délecte.


Soudain vos mouvements deviennent violents, saccadés. Vous jouissez. Vous jouissez à m'en faire perdre la raison. Vous jouissez dans ma bouche. Vous jouissez autour de mon doigt délicieusement captif. Je n'en manque pas un instant.

Lorsque vous retombez enfin, je remonte vers vous pour que nous nous embrassions. Mon doigt toujours lové dans votre sexe.

"Tu es un dingue" me dites-vous alors que vous vous empressez d'ouvrir mon pantalon. Vous me renversez sur l'épais tapis de votre salon et venez vous placer à califourchon sur moi...

54 vues0 commentaire

Posts récents

Voir tout

Perles...

Son collier de cuir noir, signe de sa dévotion, lui allait à merveille.

Cet automne...

Sitôt entrée, j’ôtais mes habits comme s’ils me brûlaient, enfilais une chemise de nuit, me jetais sur mon lit et ouvrais mon livre.

bottom of page