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Collègue - 22.

Tout s’accélère autour de moi, tout aussi bien ma sodomie que celle que subit la femme qui s’occupe de ma queue et qui, par un effet de vases communicants, me suce d’une manière insensée. J’ai des éclairs dans les yeux et la seule chose qui me rappelle à la réalité est la sensation que ma sève remonte de mes reins en un flot brûlant et ne demande plus qu’à jaillir. Je l’avoue à l’assemblée dans un cri qui finit presque en sanglot et le coup de grâce m’est donné. Il ne suffit que de quelques coups de poignet et j’explose à grands jets, me couvrant le ventre et le torse de foutre épais. Il me semble que je ne vais jamais finir de me vider et je sens mon anus se contracter spasmodiquement sur le pieu de plastique resté en moi, comme s’il essayait de le faire décharger à son tour.

Je suis anéanti par mon plaisir et baigné de ma semence lorsque, à son tour, l’homme crie qu’il,vient et il a à peine le temps de se retirer du cul qu’il besognait avant de me couvrir à son tour de puissantes giclées. C’est la première fois que je reçois le fruit du plaisir d’un autre que moi sur le corps et j’en ressens un plaisir inouï, au point que je le supplie de me laisser le nettoyer.

La bite, désormais demi-molle mais toujours de dimensions aussi respectables, s’approche de ma bouche en laissant encore couler un peu de fluides que met un point d’honneur à recueillir du bout de la langue avant de saisir le gland entre mes lèvres. Il a le goût amer de son plaisir auquel se mêlent les notes plus âcres du cul de sa compagne. Je me prends à me demander si le mien est pareil mais on me refuse ce plaisir.

— Elle avait certainement pris ses dispositions en vue d’un tel assaut et tu as goûté à une bite propre. Ce n’est pas ton cas et tu as laissé des traces que je ne te ferai pas l’affront de nettoyer sinon avec une lingette. Enfin, c’est toi qui vois…

Je comprends aussitôt ce qu’elle a voulu dire et la remercie de sa prévenance. Pendant ce temps, ma fellatrice m’a fait un brin de toilette – il ne faut rien laisser perdre et je suis paraît-il un garçon “délicieux”- avant de me proposer de passer sous la douche en leur compagnie.

— Cela fait partie du jeu, va, je ne suis pas jalouse et, de toute façon, il ne doit plus te rester beaucoup de moëlle

C’est dit sans ironie, bien au contraire, je sens un profond respect de la part de mon initiatrice et je l’en remercie avant de fendre le cercle des voyeurs.

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