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Collègue 2 - 18.

Je n’ai pas à la pousser beaucoup pour qu’elle enchaîne.

— Bref, j’étais trempée au point de me demander si je n’allais pas tâcher le canapé sur lequel nous étions assis et lui, l’air de rien, il s’amusait à me titiller, attendant certainement que je le supplie d’aller quelque part pour qu’il me démonte.

— Et il t’a fait quoi ensuite ? Je suppose qu’il n’était pas du genre à te laisser en plan.

— Laisse-moi finir s’il te plaît !

— À ta guise, je ne voudrais rater le moindre détail pour rien au monde

— Avec tes conneries, je ne sais plus où j’en étais, mais qu’est-ce qu’il fait chaud dans ce bar !

— Je vais chercher des bières si tu veux, le temps que tu rassembles tes souvenirs, ça nous rafraîchira. Je t’avoue que je commence à en avoir besoin.

Je me lève et file au comptoir. On ne change pas une équipe qui gagne alors je reprends la même tournée, échangeant seulement mon demi contre une pinte. Lisa m’a donné l’eau à la bouche avec son récit mais, paradoxalement, j’ai la gorge sèche. Lorsque je reviens, je remarque qu’elle a des rougeurs à son décolleté et je m’apprête à lui en faire part mais Lorsque je reviens, je remarque qu’elle a des rougeurs à son décolleté et je m’apprête à lui en faire part mais elle ne me laisse pas en placer une, attrape ma main et la colle entre ses seins.

— Tu sens comme je brûle ? Rien que d’en parler j’en ai des chaleurs !

— Si tu me racontes la fin de ton histoire, je te promets de tout mettre en œuvre pour y remédier.

— Tu as bien plus d’à propos que quand je t’ai connu, elle t’a bien changé ta copine…

— Tu n’aimes pas ?

— Si, bien sûr, mais…

— Si elle est possessive ? Absolument pas. Aucun des deux n’appartient à l’autre et, pour tout te dire, elle en voit un autre que moi ce soir.

— Et tu te dis que nous pourrions nous permettre une petite récréation ? Tu ne perds pas le nord dis donc !

— Oups ! Désolé !

— Ne le sois pas, je n’ai pas plus de compte à rendre que toi. Enfin, si, il faut que je lui raconte tout si je dois faire un extra. Ça t’embête si je l’appelle pour le lui dire ? Et si je te le passe ?

— Pas le moins du monde et je me dis que je vais en faire de même.

— C’est plus raisonnable en effet. Mais d’abord je finis mon histoire. Je cherchais son regard comme un naufragé espère une bouée et lorsqu’il a croisé le mien, il a eu ce drôle de sourire avant de me dire qu’il me sentait à point et qu’il allait m’accorder mon orgasme. Il m’a ensuite prise par la main et m’a entraînée à l’étage dans une chambre. Il a ensuite sorti sa queue et a juste eu à écarter ma culotte pour me pénétrer d’un mouvement lent et ample. C’était si fort, j’en avais le souffle coupé mais il me l’a vite rendu avec ses va et vient et, très vite, j’ai crié mon plaisir. Il n’a pas joui, lui, mais il est resté en moi et jusqu’à ce qu’il débande et le sentir palpiter dans ma chatte me rendait dingue. C’est là que j’ai compris que, s’il le voulait, je pouvais devenir sa chienne.




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