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Collègue - 15.

— Je me demande même si… Nous avons encore un peu de temps devant nous, non ?

— Personne ne m’attend Madame, mais ne voulez-vous pas entendre la suite ?

— Je trouve que, finalement, cette révélation suffit à cette séance et mérite une récompense.

Je m’attends à ce qu’elle me libère de toute la tension sexuelle que j’ai pu emmagasiner. Je suis si excité qu’il ne faudrait plus grand chose pour que j’explose mais, à ma grande surprise, elle lâche mon sexe, retire ses doigts de mon petit trou et se lève.

— Attends-moi ! Je ne serai pas longue et tu ne pourras que te féliciter de ta patience.

Je la vois disparaître derrière la tenture et pousse un soupir de frustration. J’étais si près de l’orgasme. Je me dis toutefois que si elle ne m’a pas achevé c‘est parce qu’elle a une idée derrière la tête et que je peux faire confiance à son imagination, elle me l’a suffisamment prouvé depuis notre rencontre.

Mes yeux s’arrondissent toutefois de surprise lorsqu’elle refait son apparition, un harnais sur les hanches dont dépasse un sexe artificiel que je juge de belle taille. C’est certes tout à fait en rapport avec mes précédentes confessions mais serai-je capable d’accueillir un tel engin ?

— Je savais que j’avais eu raison de laisser ce genre d’accessoires dans mon casier. Il te plaît ?

— Énormément Madame, mais n’est-il pas un peu trop…

— Trop gros ? Tu as des ambitions plutôt modestes finalement, ou alors tu te mésestimes. Mon gode est certes un peu plus long que ta queue mais il est à peine plus épais. Tu peux me faire confiance, je te l’ai tenue assez de temps pour pouvoir faire la comparaison.

Afin d’illustrer son propos, elle vient positionner son phallus de silicone contre le mien et, effectivement, je suis presque aussi membré que ce qu’elle me propose.

— Je suppose de surcroît que tu n’as jamais eu ce genre d’hésitation avant de la fourrer dans tes petites copines, que ce soit d’un côté comme de l’autre, alors tu ne vas pas faire la fine bouche. Allez ! A quatre pattes, et vite !

Tous ses arguments ne souffrent aucune contestation et, bien au contraire, ils sont une motivation supplémentaire pour accéder à mon vieux fantasme, d’autant plus qu’elle me rassure en ajoutant qu’elle ne me fera aucun mal et qu’à la moindre réaction négative de ma part elle cessera.

— Cela ne veut pas dire que je ne recommencerai pas mais sache que, quoi que nous fassions, il n’y a aucune obligation de résultat. Ce sera parfait si nous y parvenons et, dans le cas contraire, il ne faut pas que cela soit une source de frustration, compris ?

Plus convaincu que vaincu, je lui tourne le dos et me mets en place, le visage au creux des bras et les fesses tendues vers elle.

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