Clarissa, je la connais depuis cinq ans et demi. Nous nous sommes rencontrées lors du deuxième salon de la littérature érotique à Paris (novembre 2017).
J'avais été éblouie par une histoire d'elle parue chez la Musardine, dans un petit recueil de nouvelles "Osez 20 histoires de coups de foudre sexuels". C'est Charlie qui lisait un extrait de "une semaine de vacances" et qui en parlait sur une webradio.
Clarissa, c'est une auteure tout ce qu'il y a de plus charmant. Et son écriture est vraiment le reflet de ce qu'elle projette comme image: pétillante, légère, coquine mais toujours très classe. Elle tient un blog, Les goûters de Clarissa (clarissariviere.com) sur lequel s'enchaînent les annonces et les compte-rendu d'événements "coquins', les chroniques de bouquins, les récits de fêtes auxquelles elle assiste.
Alors que je ne suis pas vraiment adepte des récits de domination et/ou de soumission, quand elle m'a proposé de m'envoyer son dernier opus, j'ai accepté, très curieuse de ce que j'allais y découvrir. Je me disais qu'avec une plume telle que la sienne, impossible d'être déçue.
Et bien, j'ai passé un excellent moment : l'histoire est sympa, les personnages, même s'ils sont un peu typés, sont touchants, humains. Et ce que je préfère, la langue de Clarissa, est jolie, délicate et facile à lire.
Je ne me suis pas ennuyée et ai eu absolument tout lu de cette aventure au sein d'un village de vacances destiné aux maîtres et à leurs soumises. Bien sûr, c'est trop beau pour être (tout à fait) vrai. Je veux dire que, dans l'histoire, il n'y a pas que des gentils. Mais comme Clarissa voit la vie en rose, tout finit par s'arranger.
Vous voulez lire ?
Et à nouveau merci à Clarissa...
Comments