L'été dernier, j'ai pris quelques jours de vacances dans le Vaucluse.
J'en ai profité pour visiter le château du marquis de Sade sur les hauteurs du village de Lacoste.
Dès mon entrée dans les murs, je n'ai pensé qu'à toi. Écouteurs aux oreilles, je suivais docilement la voix pré-enregistrée qui guidait mes pas. Voix douce, en harmonie avec le lieu.
Tu étais avec moi.
Sweet and wild Rose-Marie.
Nue à mes côtés, dans mes pensées, elles aussi en harmonie avec le lieu.
Habillée de ta nudité. Bas noirs. Talons hauts. Seins dressés. Cul narquois, cul sublime.
Je suis allé m'asseoir sur le fauteuil qui trônait dans la pièce savamment éclairée. Tu m'as rejoint, te déplaçant à quatre pattes sous une lumière douce, créatrice d'ombres mouvantes, félines, animales.
Ombres crues.
Je t'ai donné ma queue.
Tu l'as léchée.
Tu l'as sucée.
Tu l'as gardée en bouche, longtemps, durcie de plaisir. Ton regard me fascinait. Tes lèvres rouges, serrées autour de mon gland me tétaient, à l'affût du moindre tremblement.
Divine suceuse. Donneuse de joie.
Puis tu t'es allongée sur la table de bois massif, cuisses ouvertes, relevées. Ma bouche posée sur ton infinie douceur avide de ma langue.
Je t'ai léchée.
Je t'ai sucée.
Je t'ai gardée longtemps contre mes lèvres et j'ai longtemps goûté tes frémissements, ton clitoris si sensible, ta liqueur intime.
Tu es une femme si désirable et si belle. Dans son âme et dans son être.
Plus loin nous sommes entrés dans une salle voûtée.
Et tu étais là, adossée au mur de pierres, poignets enchainés au-dessus de ta tête à deux anneaux solidement ancrés dans la muraille.
Je me suis approché de toi, j'ai attrapé tes deux seins, alternant douceur et fermeté, jouant de leurs pointes sous mes doigts.
Leurs mamelons se plaisaient à se frotter à mes lèvres, à ma langue.
Ma main posée en conque sur ta chatte et tes ondulations impudiques sous ses caresses me faisaient bander de plus belle.
Lascive et provocante, tu veux ma queue.
Ma queue te veut.
Je soulève tes cuisses, relève tes genoux, et en te soutenant par les fesses, tout en les écartant, je te pénètre.
Je veux jouir de toi et que tu jouisses de moi.
Tu tressautes à chaque coup de reins.
Comme sur une balançoire tu lances ton bassin en avant sur mon sexe raide. J'agrippe tes fesses pour te retenir, te plaquer contre moi et fouiller ta chatte de mon membre ardemment planté en toi.
Oh comme tu es belle !
.........
Dans la salle suivante tu m'attendais, entravée de cordes reliées aux quatre coins du lit à baldaquins.
Cul relevé... Cul sublime... Cul à prendre...
J'ai d'abord joué du clavecin sur tes fesses rondes, piano, allegro, andante, forte, fortissimo !!!...
Ce petit intermède musical t'a plu, mais c'est ce moment-là que la voix suave qui guidait mon parcours a choisi pour annoncer que la visite était terminée et nous sommes sortis.
Aussitôt à l'extérieur je t'ai entraînée au pied des murailles dans les hautes herbes... Je t'ai courbée devant moi et je t'ai baisée fougueusement jusqu'à ce que tu cries ton plaisir... Jusqu'à ce que je crie mon plaisir...
On dit que les murs ont des oreilles.
Ils ont peut-être aussi des sourires.
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