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Photo du rédacteurDick Sainte-Cécile

Collègue 2 - 7.

Je décide de le lui retirer, je la vois béante et c’est un spectacle fascinant. Je n’avais vu ce genre de choses que dans des films ou des revues pornographiques et y être confronté dans la réalité est quelque chose de très troublant.

— Alors, tu as vu ? Le corps humain est très malléable, ne trouves-tu pas ?

— Vous êtes si… relâchée Madame

— Je sens à ta voix que tu es inquiet. Rassure-toi, c’est parfaitement réversible.

Il ne lui suffit que de quelques contractions pour que son petit trou reprenne une forme tout à fait normale et je suis épaté par le fait que cette transformation soit si rapide. La démonstration a été en tout cas tout aussi instructive qu’excitante et il va falloir que j’évacue le trop plein de tension sexuelle que j’ai pu accumuler au cours de cette séance. Elle ne m’a rien demandé mais je prends l’initiative de sortir mon sexe de mon pantalon et me mets à me caresser doucement tout en contemplant son cul toujours offert mais auquel je sais que je n’aurai pas accès aujourd’hui. Elle a entendu le bruit de mon zip car elle m’encourage à me branler.

— Je suis toute échauffée et j’aurai bien besoin de ton jus pour me rafraîchir, même s’il doit être brûlant.

Elle se tourne à nouveau. La table est trempée par ses sécrétions mais elle semble s’en moquer. Seule ma bite compte pour elle et elle s’en saisit avec une envie non dissimulée.

— Vu comme ta queue est chaude, j’ai peur de me brûler la langue finalement, si je te suce. En même temps, c’est tellement tentant.

Elle se la colle illico dans la bouche et je manque de décharger sitôt qu’elle vient jouer avec mon méat. Une goutte en est même sortie, qu’elle recueille avec gourmandise.

— Je crois que tu ne vas pas être long à venir et c’est tant mieux, il va falloir que nous quittions la salle et aller bosser. Je me serais tout de même bien amusée encore un peu avec toi mais c’est la vie.

Elle reprend sa fellation avec tellement de savoir-faire qu’il ne lui faut que quelques secondes pour me faire jouir au fond de sa gorge, à l’exception des derniers jets qu’elle laisse jaillir sur le mobilier à l’endroit même où elle a tant mouillé.

— Voilà qui est fait. Je te laisse, j’ai une réunion. Je peux compter sur toi pour ne laisser aucune trace de notre passage ?

Sa jupe est redevenue sage. Elle m’embrasse, me communiquant un peu de mon goût et disparaît. J’ai deviné comment elle veut que je procède et me livre à un lapage dans les règles de l’art du mélange de nos fluides avant de refermer la porte derrière moi.

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