Je sais parfaitement qu’il est inutile de lui poser la moindre question quant à ces “autres” et j’appuie la pointe de l’ogive métallique sur le renflement de ses nymphes. Elles en épousent le contour de telle sorte que je n’ai plus le moindre doute sur le fait de pouvoir la pénétrer avec cet engin, en admettant que j’aie pu en avoir après qu’elle m’a fait cette proposition. Elle est parfaitement glabre, ce qui n’empêche pas une chair de poule tout à fait excitante de se former sur son mont de Vénus sous l’effet du froid de l’acier. Sabrina soupire.
— Hmmm, ce pauvre jouet tout glacé… Mets-le moi maintenant, pour que je le réchauffe.
J’exerce une légère pression et, petit à petit, je vois son sexe se déformer pour accueillir le plug. Il y a un petit “plop” au moment où sa partie la plus large passe l’entrée du vagin puis elle semble l’avaler et je me crispe sur sa base de crainte qu’il ne disparaisse entièrement dans sa grotte d’amour. Je m’inquiétais pour rien car, si accueillante qu’elle puisse être, elle n’en a pas moins une sacrée maîtrise de son corps si j’en juge par l’arrêt net de la progression du rosebud sitôt que la pierre couvre son sexe. J’ai tout lâché et je contemple le spectacle de ce disque bleuté qui décrit de petits cercles au rythme de ses contractions internes.
— Tu veux bien le faire aller et venir ? Je ne voudrais pas avoir à faire le travail toute seule.
Je tire doucement et ses lèvres intimes s’écartent pour laisser s’échapper le plug qui luit désormais de sa mouille. Je le laisse presque totalement sortir avant de le pousser à nouveau et, ayant compris qu’elle me laisse l’initiative de ses mouvements, je m’amuse à faire des allées et venues qui l’écartèlent chaque fois un peu plus tandis qu’un filet limpide coule d’entre ses jambes sur la table.
— Je crois qu’il ne pourra pas être plus humecté qu’il ne l’est à présent Madame.
— Tu as tout à fait raison et nous allons pouvoir entrer dans le vif du sujet si tu me permets cette expression.
Elle a gardé le plug dans son sexe et pivote sur elle-même afin de se retrouver à quatre pattes devant moi. J’écarte les pans de sa jupe fendue avec précaution et dégage les globes charnus de ses fesses. L’œillet brun en leur centre semble me défier et je dois faire appel à tout le respect que j’ai pour elle pour me contenir et ne pas y planter un doigt autoritaire. Je me contente donc de séparer les deux hémisphères afin de me projeter un peu plus sur ce qu’il me reste à faire.
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