Sa prise sur moi se raffermit et, millimètre par millimètre, je sens son phallus artificiel entrer en moi. Elle m’a bien préparé car je ne ressens aucune douleur, seulement le fait d’être rempli petit à petit et, si je connaissais déjà les effets que pouvaient produire un petit plug ou des doigts, ce que je suis en train de vivre là est sans commune mesure avec eux. C’est nettement plus intense, profond, même si je sais à l’inexorable progression de son appendice, qu’elle n’en a pas fini avec moi. Est-ce pour me ménager ? Elle procède avec une infinie lenteur et je me surprend à tendre un peu plus mes fesses vers elle pour venir à sa rencontre, ce qui l’amuse beaucoup.
— Eh bien, pour un novice, je te trouve bien gourmand ! Montre-toi patient, je suis presque au bout.
Elle a raison. Son bassin vient bientôt se poser sur moi et elle s’immobilise. Je retiens mon souffle. Je suis désormais plein d’elle et je voudrais que cela ne finisse jamais. Elle recule pourtant, laissant derrière elle une impression de vide. Va-t-elle s’en tenir là ? Je constate vite que non car elle reprend sa progression en avant, pour entamer cette fois un lent va-et-vient. A ma grande surprise, mon sexe reprend vigueur, ce dont elle se rend compte avant de s’en saisir à nouveau.
— On dirait que tu aimes ça et je vais te donner plus que satisfaction.
Elle se met à me branler au rythme de sa pénétration. Mon cul fait un bruit mouillé tandis qu’elle le pistonne et des ondes de plaisir me parcourent le corps des pieds jusqu’à la tête. Il règne autour de nous une atmosphère de transpiration et de lubrifiant mélangés, l’odeur d’un orgasme auquel elle m’amène peu à peu et que je n’aurais jamais cru possible auparavant. Je gémis mon contentement et, encouragée, elle augmente la cadence, sa main gauche posée sur mes reins pour m’assujettir et la droite qui enserre ma hampe mieux qu’aucune autre ne la fait.
— Je peux y aller un peu plus fort ?
— Faites de moi ce que vous voulez Madame mais, par pitié, ne m’abandonnez pas !
— Je prends ça pour un oui.
Elle entre et sort désormais de toute la longueur de son pénis artificiel et c’est comme si son gland venait taper au plus profond de moi. C’est absolument inouï et je me mets à la supplier .
— Défoncez-moi Madame !
Je suis le seul à être surpris par la crudité de mes propos.
— J’en étais certaine. Vous êtes décidément tous les mêmes : des hommes plus ou moins entreprenants au premier abord et de vraies salopes une fois qu’on vous encule.
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